Simon Robic
28 septembre 2009 à 23:14
En même temps, si elle en parle comme ça, c’est plutôt bon signe. Ca n’a pas marché.
Fabrice Epelboin
28 septembre 2009 à 23:33
En même temps, tenter de corrompre un Suédois, c’est tout de même assez casse gueule ;-)
Thierry Lhote
29 septembre 2009 à 1:21
Moui… moi je ne vois rien d’humiliant pour le gouvernement français à l’horizon, c’est plutôt les députés et les deux assemblées qui vont encore prendre un coup pour leur crédibilité.
Car enfin, l’exécutif propose et l’assemblée dispose. En tant que citoyen, je trouve vraiment bizarre qu’un député choisisse de sauver son investiture et sa carrière sur un vote qui va contre le bon sens. Il est normalement là pour assumer ce genre de risque, cela va de pair avec le pouvoir de représentation attaché à sa fonction, qu’il ne s’étonne pas si après les journalistes politiques parlent de “godillots”.
Pour le coup de chercher à influencer un parlementaire suédois ou autre, ce serait grave en effet si on lui avait proposé un cadeau, de l’argent, ou n’importe quoi en échange.
Cependant les suédois la jouent vraiment vierge effarouchée, et un peu hypocrites. On n’ira pas leur demander de jurer sur une bible si l’Etat suédois ne paye pas des lobbyistes auprès de la commission et du parlement européens…
Fabrice Epelboin
29 septembre 2009 à 1:25
Je crois que tu sous estime à quel point les Suédois sont tatillons avec ce genre de choses. C’est clair qu’en France, cela n’est qu’une goutte d’eau dans un vase qui déborde depuis longtemps, mais là bas, ca fait du bruit. Sinon, oui, les Suédois ont les moyens de jouer les vierges effarouchés, eux.
Par ailleurs, je ne vois pas très bien de qui tu parles en matière de député, mais certainement pas de celle dont je parle dans cet article. Un député godillot, c’est justement un député qui vote comme on lui dit de voter, ce qui n’est pas le cas de cette député Suédoise, de toutes évidence.
Quand à ton appréciation du bon sens… tu dois te sentir bien seul avec lui sur le net, même à l’UMP, il a du mal à réunir une majorité… Ceci dit, la majorité n’a pas systématiquement raison, ça se trouve, la dictature et la censure a du bon et nous l’ignorons tous…
Nicolas Patte
29 septembre 2009 à 8:10
Pardon de chipoter : ça fait un peu snob de faire encore semblant (à nos âges !) de traduire “digital economy” par “économie digitale”. A ma connaissance, l’économie numérique n’a pas la forme d’un doigt, ou alors il s’agit du majeur bien tendu — et dans ce cas il faut le préciser ;-)
Le Net, c'est certain, est cet océan où quiconque peut lancer des "bouteilles", c'est-à-dire des informations, des opinions, qui seront peut-être un jour accueillies utilement.
Rédigé par :Yves |Malheureusement, c'est le lieu aussi où des malfaisants jettent des "bouteillons" (au sens où Jacques Perret les décrit dans "Le Caporal épinglé") : mensonges destinés à détruire des réputations, démoraliser, faire mal.
Alors, on se résigne